J’ai suivi des stages de mécanicien automobile à différents endroits. Un collègue de mon frère a ensuite attiré mon attention sur une place d’apprentissage chez KIBAG. Pourquoi j’ai choisi de suivre un apprentissage de mécanicien automobile chez KIBAG ? Je peux travailler non seulement sur des voitures, mais aussi sur des camions. C’était important pour moi. Je commence par régler les petites affaires le matin : remplir tous les consommables dans l’atelier comme par exemple les rondelles, les ampoules, les chiffons, etc. Ce que je préfère, c’est préparer les poids lourds au contrôle des véhicules à moteur. Je fais donc un service. Ça me fait très plaisir. Nous prenons une pause à 9 h et nous mangeons ensemble à la cantine de l’entreprise à midi. Je trouve parfois pénible de devoir commencer par les petites affaires, je préfèrerais travailler directement sur les voitures et les poids lourds. Mais je comprends bien que ces tâches sont nécessaires.

Le soir, j’aime bien bricoler sur mon vélomoteur ou aider mon père dans son atelier. Je suis un passionné de mécanique, tout simplement. L’école professionnelle est plus difficile que l’école secondaire. Je suis plus ou moins bon selon la branche. Je peux me plonger dans mes examens avec mon formateur à tout moment, c’est très utile. Je rêve d’avoir un jour mon propre atelier, comme mon père ou mon frère. Mon conseil pour quelqu’un qui ne sait pas encore ce qu’il doit faire après l’école : suivre beaucoup de stages de métiers intéressants, puis se lancer pour trois ou quatre ans d’apprentissage. Mais si ce n’est malgré tout pas le bon, ne pas attendre trop longtemps et changer d’orientation.