Enfant, je voulais être policier. Le parallèle avec un technologue en assainissement? C’est peut-être que tous deux doivent rédiger de nombreux rapports. Et à propos, ces protocoles sur les regards que je dois remplir pour une commune assis toute la journée dans ma voiture, c’est pas trop mon truc. Ce que j’aime dans mon métier, c’est quand je peux travailler de manière autonome et penser tout seul. Quand je peux prendre des responsabilités. Ma formation était axée autour de l’inspection des canalisations. Je localise les dommages dans des conduites et des canalisations à l’aide d’une caméra commandée à distance, une caméra de canalisation. C’est là que je me vois à l’avenir : opérateur de caméra dans mon propre véhicule.

Ma journée commence à 7 h à l’atelier, où je regarde les mandats que nous avons. Nous préparons notre matériel et partons en voiture avec une remorque pour les instruments de mesure, de test d’étanchéité, etc. À midi, nous mangeons généralement à l’extérieur et je finis ma journée à 17 h. Nous nous déplaçons toujours à deux et je travaille généralement avec mon formateur. J’entretiens de très bons rapports avec lui, même en privé. Je me sens d’ailleurs très bien chez KIBAG ; c’est un employeur juste qui prend toujours les préoccupations des apprentis au sérieux.

J’ai suivi beaucoup de stages avant de choisir ma profession. Il était évident qu’il me fallait un métier technique et manuel. La diversité et l’équipe ont fait la différence. L’équipe de travail est sans doute l’élément le plus important, tu les vois tous les jours. Sans collègues avec qui on s’entend bien, on a aucun plaisir à travailler.