C’était déjà clair pour moi en 5e année: je voulais devenir mécanicien en machines de chantier. Un collègue pompier de mon père qui travaille chez KIBAG m’a conseillé de me présenter auprès de KIBAG à Bäch, car ils formaient des mécaniciens en machines de chantier. Je me suis ensuite renseigné sur Internet et j’ai appelé le formateur. La profession de mécanicien en machines de chantier est extrêmement variée, ça me plaît. Il me suffit de vingt minutes pour me rendre au travail, ce qui est bien sûr très cool. J’ai choisi KIBAG pour son grand parc de véhicules et ses prestations dans des secteurs très variés et passionnants : travaux spéciaux, terrassement, construction de routes, etc. Et je peux tout réparer, du vibrofonceur à la grue sur chenilles, en passant par les grands engins de forage. Je préfère les urgences : nous intervenons alors directement sur le chantier. Un exemple : une fuite de 20 litres d’huile sur une pelleteuse de 30 tonnes représente un risque pour les sols et la nature. Nous recherchons donc les problèmes en procédant par exclusion et il faut alors faire preuve de beaucoup de concentration et de rapidité. J’aime ce défi.

Si KIBAG le veut bien, je resterais volontiers un moment ici après mon apprentissage. Plus tard, j’aimerais bien travailler comme machiniste. Et mon objectif à long terme est de reprendre l’entreprise de transport de mon oncle. Si tout se déroule selon mes plans, je devrais alors avoir environ 30 ans.

En ce qui concerne le choix de la profession, il faut avant tout se demander : suis-je plutôt habile de mes mains ou amateur d’ordinateurs ? Il faut ensuite faire un maximum de stages les plus variés possible. Il était aussi important pour moi de bien me sentir dans l’entreprise formatrice et de bénéficier d’un bon soutient des formateurs. J’ai pu découvrir tout cela lors des différents stages.